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skyrock.com homepage blogs profils chat apps music sources videos gifts log in create your blog search blog profile et si l on faisait tomber les barrires du tabou? viol-temoin description: je tenais crer ce blog... c'est une faon pour ces victimes, ne s'exprimer. donc voici plusieurs temoignages... ce sont des histoires vraies. vous tes libre de les soutenir par commentaires. j'espre que ceci captura votre attention, sur un sujet qui est encore bien trop tabou ... bonne visite tous... follow block choose this background awards (17) » more profile viol-temoin 27 yo belgium share tweet friends 0 design by the-skyrock-team choose this background report abuse info created: 23/03/2007 at 3:02 pm updated: 23/03/2014 at 6:49 pm 27 articles 257 comments 288 friends 293 favourites 476 hearts tags http://www.contreleviol.com my archives (27) vous avez t victime ? ou appeller en cas de difficults ? pour la... » more their fans (411) » more sources (293) » more subscribe to my blog! (1 subscriber) rss vous avez t victime ? ou appeller en cas de difficults ? pour la france: police : 17 sos viol : 0800/05.95.95 --> numro gratuit sos femmes violences conjuguale : 39 19 --> numro gratuit enfance maltraite : 119 --> numro gratuit sos violences familiales : 01.44.73.01.27 --> numro payant sos suicide : 01.48.78.00.78 --> numro payant pour la belgique: police : 101 difficults de vie "quelqu'un qui parler 24h/24" : 107 --> numro gratuit victime de harclement sexuel : 107 --> numero gratuit ecoute enfants : 103 --> numero gratuit sos viol: 02/534.36.36 --> numro payant centre de prvention des violences conjuguales et familiales: 02/539.24.44--> numro payant 55 | 12 | 0 | share comment comment don't forget that insults, racism, etc. are forbidden by skyrock's 'general terms of use' and that you can be identified by your ip address (45.33.85.57) if someone makes a complaint. log in # posted on sunday, 27 may 2012 at 2:30 pm * un sourire... dans ce monde remplis de haine, d'agressivit, de guerre.... parfois tous ces vnements me rendraient folle. parfois je me demande si cette vie, n'est pas l'enfer. peut-il y avoir pire que la mechancet de l'homme. aujourd'hui je dis stop ces penses. sourions, une seconde... notre vie est ce que nous en faisons. ce que nous voulons qu'elle soit. se laisser abattre, s'empcher de sourire, c'est les laisser gagner, tous ce sgens qui veulent vous prendre votre vie y arrivent comme a. c'est difficile, mais relevez vous ! regardez dehors, ce ciel bleu, cet odeur d'hiver, des amis qui nous font rire ou des parents prsent ou un compagnon attentif. ca peut tre aussi la politesse d'un voisin, une blague d'un caissier. peu importe. nous vivons. toutes ces choses peuvent contribuer une vie remplie, une vie ou un sourire peut tout changer. tout effacer pour quelques instants. ne les laissez pas gagner. c'est votre vie, pas la leur ! - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 48 | 17 | 0 | share comment comment don't forget that insults, racism, etc. are forbidden by skyrock's 'general terms of use' and that you can be identified by your ip address (45.33.85.57) if someone makes a complaint. log in # posted on saturday, 17 december 2011 at 10:25 am je m'absente de cette pice, il ne reste que mon enveloppe, je ne suis plus l, je n'existe plus, je ne sens pas son souffle, je n'entend pas sa voix, il ne m'arrive rien, je suis en mille morceaux. . c'tait il y a 12 ans, j'avais 21 ans et j'tais un peu perdue. ma maman tait trs malade, atteinte d'une tumeur au cerveau, elle dcdera 1 an plus tard. ma famille souffrait, j'avais dj quitt la maison pour mes tudes et c'tait difficile de ne pas tre leurs cts je venais de rencontrer mon petit copain mais il devait s'absenter la semaine pour son travail et je me sentais trs seule. j'avais l'impression que mes copines de la fac ne me comprenaient pas, je cherchais ctoyer des adultes. c'est comme cela que j'ai connu celui qui allait me violer quelques mois plus tard. il faisait partie de mon groupe "d'amis plus gs"...avec le recul je dirais que la plupart de ces gens taient malsains, et moi certainement trop nave. un soir, aprs avoir pass le dbut de la soire dans un restaurant o nous avions nos habitudes, le groupe dcide d'aller danser en bote de nuit. nous faisons 2 voitures, je monte avec 2 "amis", dont l'un d'eux, mon violeur, dit qu'il doit passer chez lui pour se changer avant de sortir. finalement, ils dcident de rester dans l'appartement, nous discutons un bon moment, j'ai tellement confiance que rien ne m'alerte jusqu'au moment o l'autre personne dit qu'il va s'absenter pour aller l'picerie de nuit. il ne reviendra pas. au bout de 5 minutes je dis que je vais partir. et l je me retrouve rapidement coince contre le mur o je prends un coup de tte. mon nez explose et je perds connaissance. mon violeur me trane par les pieds jusqu'au milieu de la pice, je suis "groggy", incapable de rsister, mais je commence quand mme crier, appeler au secours. je prend alors de grandes claques dans la figure, des coups de pieds et de poings pour me faire taire. la nuit va tre trs longue, tout mon esprit est tendu vers le seul but de me sortir de l vivante. il faut que je rflchisse vite, que je prenne les bonnes dcisions. encore sonne par les coups, je tente de ngocier, ce qui accrot la fureur de mon agresseur qui me frappe nouveau et me mord le sexe, met ses doigts l'intrieur de moi. je tente de me relever, il projette ma tte contre le montant de la mezzanine. il m'enlve mes lunettes et les jette dans un coin de la pice, je suis terrorise car je ne vois plus rien. je lui parle alors de sa fille, qui a le mme ge que moi, je lui dis qu'il ne peut pas trahir ma confiance, que c'est trop grave, qu'il peut encore me laisser partir... alors qu'il semble flchir un peu, je prtexte l'envie d'aller aux toilettes, qui sont situes prs de la porte de l'appartement. je repre mon manteau, prte m'enfuir dans la rue nue sous ce manteau. j'ai la main sur le verrou quand il m'attrape par l'paule et me trane dans l'appartement, me frappe nouveau. je suis puise, je n'ai plus d'ides, et surtout j'ai peur de mourir sous les coups. je le supplie alors d'au moins utiliser un prservatif, ce qu'il ne fera pas. je m'absente de cette pice, il ne reste que mon enveloppe, je ne suis plus l, je n'existe plus, je ne sens pas son souffle, je n'entend pas sa voix, il ne m'arrive rien. je suis en mille morceaux. et pourtant chaque petit bout de moi crie que je dois m'en sortir vivante. il se retire. je lui dis trs calmement de me rendre mes lunettes et mes vtements qu'il a parpills un peu partout. il dit qu'il va me raccompagner. je ne refuse pas de peur que cela le mette en colre et qu'il me frappe nouveau. nous sortons dans la rue, c'est le petit matin, cette nuit a t longue, je croise mon reflet dans une vitrine, mon visage est tumfi et ensanglant. les gens partent travailler. personne ne s'arrte, comme personne n'a entendu mes cris cette nuit. j'arrive en bas de chez moi, fais semblant de monter le temps que mon agresseur parte, et je redescends pour appeler une amie depuis une cabine tlphonique. je ne parviens pas lui expliquer les longues heures de la nuit, elle doit partir travailler. je parcours le centre ville sous la pluie et sonne chez une amie, elle n'est pas l, une deuxime, pas l non plus. la troisime porte s'ouvre, je ne peux pas parler mais mon amie chauffe de l'eau pour le th et me dis de me mettre sous sa couette. je prononce le mot, elle me dit que je dois porter plainte, je refuse et nous partons la fac. mais je ne suis pas ma place et mon corps me fait mal. nous partons l'hpital. le nez cass. la mchoire fracture. des ecchymoses partout. je suis en bouillie ca me met en colre ces fractures, ces traces, ces marques, il n'avait pas le droit de laisser des empreintes que je peux voir, que les autres peuvent